Si ce ne sont pas les uns, ce sont les autres. En effet, hier matin, dans le centre-ville de la capitale, les sacs-poubelle, pleins d’ordures et, la plupart, éventrés, garnissaient, si on ose dire, tous les coins de rue. Conclusion : encore une fois, les éboueurs, pour une raison ou une autre, font grève. Pour combien de temps ? On n’en sait rien. Mais comme cela se passe fréquemment, on s’attend au pire. Alors préparons-nous à endurer ce calvaire, en priant Dieu qu’on trouvera une solution définitive à toutes ces actions et qu’on en finisse une fois pour toutes.
T.B.